Cet événement, organisé le 16 mai par les étudiants de l’École Supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ESSTIC), a mis en lumière la créativité, la diversité culturelle et l’engagement des jeunes dans la promotion des arts.
Inès KOUNA NOMO
Ce vendredi-là, l’ambiance était toute particulière sur le campus de l’ESSTIC. Le Festival des Arts et de la Culture, initié par les étudiants de l’école, a rassemblé un public nombreux composé d’étudiants, de professeurs, d’invités et d’amateurs d’art.
Des stands artistiques originaux, des expositions photographiques, des ateliers de création et des démonstrations de danses traditionnelles ont animé la journée. Les étudiants ont redoublé d’imagination pour faire découvrir la richesse culturelle camerounaise et internationale, notamment celle du Tchad et du Gabon. Peintures, œuvres graphiques, sculptures… les visiteurs ont pu admirer une grande diversité de créations.
L’art culinaire n’était pas en reste. Répartis en aires culturelles, les organisateurs ont proposé une variété de plats typiques : okok eton, vers blancs, eru, mbongo, bouillie de riz, ainsi que des boissons naturelles comme le jus de bissap et de baobab. Une véritable immersion dans les saveurs locales.
Le festival a débuté dès les premières heures de la matinée, et l’ambiance n’a cessé de monter tout au long de la journée grâce à une programmation riche en spectacles et performances. Sur la scène principale, des troupes de théâtre ont présenté des pièces mêlant tradition et modernité, tandis que les danses ont électrisé le public par leur énergie et leur expressivité, célébrant la pluralité culturelle du Cameroun.
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Moment fort de la journée : l’élection de Miss et Mister ESSTIC, un concours valorisant l’élégance, le charisme et le talent des étudiantes et étudiants. L’événement a suscité un fort engouement, ajoutant une touche glamour et festive à l’ensemble.
En somme, ce festival a brillamment rempli sa mission : valoriser la créativité étudiante, promouvoir la diversité culturelle et encourager les échanges autour des enjeux artistiques et sociaux. Une belle réussite qui annonce des éditions futures prometteuses.
Inès KOUNA NOMO
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